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Sommaire - Le Mag de l'enfant sauvage
1797 : Un garçon errant est capturé dans une forêt du Languedoc. "L'enfant sauvage", surnommé Victor de l'Aveyron, sera confié au docteur Jean Itard, qui se lance dans un travail d'éducation et d'insertion sociale. Dans un Mémoire (1801) et un Rapport sur Victor de l'Aveyron (1806), il raconte les difficultés qu’il a éprouvées à faire retrouver à l’enfant sentiments, faculté de raisonnement, langage. Itard se demande finalement s’il n’aurait pas mieux valu le laisser dans la forêt.
1970 : Le cinéaste François Truffaut raconte l’histoire de Victor de l’Aveyron dans le film L’enfant sauvage.
2010 : L’écrivain américain T.C. Boyle s’inspire à son tour de l'histoire de Victor pour écrire le roman Wild child.
2017 : Pour faire vivre leur lecture du roman de T.C. Boyle, pour en rendre compte de façon créative, les lycéen.nes du projet i-voix réalisent un magazine de presse numérique.
ACTUALITÉS
- FAITS DIVERS :
- Un enfant-loup ramené au village (par Adèle)
SCOOP :
- Victor est vivant ! (par Maëlle)
- Entretien avec Victor de l'Aveyron ! (par Théodore)
- Victor était-il vraiment un enfant sauvage ? (par Pauline)
- Des enfants sauvages de nos jours encore ? (par Anna Catharina)
DESSIN
(par Joanne)
- Un chapitre inédit du roman de T.C Boyle (par Louis)
- Victor ou la personnification du mythe du bon sauvage (par Anna Catharina)
- De Remus et Romulus à l'enfant sauvage (par Enora Cor)
- Le docteur Itard, parfait exemple d'un savant du siècle des Lumières ? (par Enora Cou)
- Comment l'histoire de Victor représente notre culture (par Louis)
- L'enfant sauvage de Truffaut et de Boyle (par Léo)
- Nell la fille sauvage (par Lisa)
- (par Enora Cor)
- (
- Victor, enfant sauvage et enfant star (par Enora Cou)
- D'autres exemples d'enfants sauvages (par Diletta)
- Amala et Kamala (par Maria)
- La société corrompt-elle l'homme ? (par Suzon)
- (par Mona))
- Faut-il préférer la vie sauvage ou la vie civilisée ? (par Diletta)
- Est-ce que le progrès permit l'égalité ? (par Alessia)
- (par Coraline)
- Guide de survie à destination d'un enfant sauvage perdu en ville (par Youna)
- Guide de survie à destination d'un enfant abandonné dans la forêt (par Adèle)
- A la recherche de la beauté sauvage (par Manuel)
- Les conseils de Victor en escalade (par Alexia)
- Victor coach sportif (par Manuel)
- L'Aveyron avec Victor comme guide (par Pauline)
- Les carences alimentaires de la vie sauvage (par Mélanie)
- 4 recettes de cuisine selon Victor (par Léa)
PUBLICITE :
(par Lauriane)
- Prisonnier entre deux mondes (par Clara)
- Le corbeau et le sanglier (par Mensye)
- Seriez-vous capable d'éduquer Victor ? (par Maëlle)
- Sauriez-vous survivre en forêt ? (par Youna)
- Vente, offres d'emploi, rencontres ... (par Lisa)
- MÉTÉO :
- Sale temps pour les sauvages (par Jeanne)
- HOROSCOPE :
- Votre année sauvage ! (par Brieuc)
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Commentaire de l'auteur sur Twitter :
Je suis tres heureux, mes enfants sauvages. https://t.co/KZo4i6vRH9
— T.C. Boyle (@tcboyle) 13 octobre 2017
Ce travail a été mené dans le cadre d'une séquence sur le thème "Sauvages et civilisés" en lien avec l'objet d'étude "La question de l'Homme dans les différents genres de l'argumentation."
Il s'agit de rendre compte, de façon créative ou informative, critique ou ludique, d'une lecture pertinente et précise du roman : chacun se l'approprie à sa façon, selon ses inclinations et ses réflexions propres ; chacun développe ses compétences tout en en enrichissant son regard sur l’œuvre à travers les articles de ses camarades.
Il s'agit aussi de développer des capacités en translittératie : allers-retours de la littérature au web ; transmutation du roman en poème, en interview ou en lettre ; lecture de textes multi-supports ; recherche et traitement de l'information ; mise en relation des textes, des infos, des genres ; appropriation par le pastiche ou la parodie, la manipulation et le transfert, de codes d'écriture journalistiques et littéraires ; apprentissage des modalités et règles de la publication en ligne ...
Le travail de réécriture favorise l’immersion dans l’œuvre comme la distanciation par rapport à celle-ci : il permet de travailler tout à la fois les capacités d’empathie et d’humour. Au bout de la transformation, bien des satisfactions : le plaisir de lire et d’écrire, le bonheur d’apprendre, de recréer et de partager, une comblante réconciliation de la culture du livre et de la culture numérique.