Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
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Il ou elle est venu la nuit a dit tout bas des choses a fait peur dans ma tête Mais moi c’est les cris C’est comme une lumière gelée dans ma tête Alors je cogne ma tête fort contre le mur Je veux plus l’entendre Tais toi Je cogne Je veux plus je veux
Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu; Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu; Tandis qu'une folie épouvantable, apocalyptique, affreuse,...
Slogan dans une " manifestation poétique "? "Je ne parlerai pas, je ne penserai rien: Mais l'amour infini me montera dans l'âme, Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la Nature, - heureux comme avec une femme"
S'il ne fallait retenir qu'un seul "Poèmes Jetables" : pour écrire on commence par crayonner puis lorsqu'on a compris ce qui est sensé et ce qui ne peut l'être on croit qu'on va rayonner
s'il fallait un nouveau titre, je proposerais : Le cri d'un rêve j'ai choisi ce titre car ce sont les deux mots qui m'ont le plus marqué lors de ma lecture et car à travers ces poèmes on peut sentir l'envie de vivre, qu'un rêve se réalise et pour cela...
Photo "Un monastère perché dans les montagnes du Maghreb, dans les années 1990. Huit moines chrétiens français vivent en harmonie avec leurs frères musulmans.Quand une équipe de travailleurs étrangers est massacrée par un groupe islamiste, la terreur...
ah le silence éclaté dans le sang répandu là sous le ciel qui sue ah la chaleur torturée la lumière qui tue et ma vie revenue ffff pour écouter un extrait du recueil de Brigitte Fontaine Gerhard Richter - Sans titre (1980) ;;Dz;;;;;;;; pour écouter la...
Poésie, étrange amante, le soir venu Dévoile, à certains, ses charmes ingénus Tombe parfois le voile, Elle se met a nu Et laisse voir son mirifique corps charnu Laisse choir entre ses reins son sens devenu A nos yeux la huitième merveille connue Tels...
Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue : Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. L'hiver, nous irons dans un petit wagon rose Avec des coussins bleus....
Le dormeur val C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrichant follement aux herbes des haillons D'argent; oùu le soleil, de la montagne fière, Luit: c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque...
Par les soirs bleus d'été, j'irais dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue: Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. L'hiver, nous irons dans un petit wagon rose Avec des coussins bleus....
J'ai relevé plusieurs champs lexicaux dans On ne sait pas si ça existe, les histoires vraies. Ddans le poème de Judith, celui de la nature et celui du froid. Nature : pierre, eau, ciel, vent, herbe p15 ciel p17 pierres p19 hautes herbes du jardin, montagne...
Elle était fort déshabillée Et tout ce corps remue et tend sa large croupe, La graisse sous la peau paraît en feuilles plates Mi-nue, elle joignait les mains. On divague; on se sent aux lèvres un baiser Sous l'ombre de faux-col effrayant de son père......
Sensation Par les soirs d'été, j'irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue : Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Je ne parlerai pas, je ne penserai rien: Mais l'amour infini...
Je suis Malheureuse parce que je suis conne et que tout le monde est con parce que j'ai raté ma vie souillon comme Marie Curie la joie est forte comme la douleur c'est tantôt l'une et tantôt l'autre le vainqueur nous sommes des mutants sur le vaisseau...
J'ai apprécié lire ce recueil car l'auteur Stéphanie Chaillou évoque de nombreuses petites histoires qui se déroulent souvent durant notre vie, en lisant ses poèmes j'ai parfois repensé à certains souvenirs et ce fut très agréable.
Un corps mal habillé se promène sur une jetée Une femme crie qu'elle ne se laissera pas faire Elle ne demande aucune autorisation Une petite fille blonde se cache au fond d'un cagibi Elle pleure en même temps La question du centre ignore son identité...
Le thème principale du recueil est l’ enfance , chaque chapitres est basé sur un enfant Chapitre 1 : Je m’appelle Judith, j’ai trois ans puis je m’appelle Judith, j’ai quatre ans Chapitre 2 : Je m’appelle Adrien, j’ai six ans Chapitre 3 : Je m’appelle...
Je propose comme phrase : "Aucun mot ne s'évaderait, aucune pensée" Sensation Par les soirs bleu d'été, j'irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue: Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma...
Je pense à 5 mots en lisant ce poème : "A l'arrière d'une voiture un chien agite mécaniquement sa tête Une femme pense à ses chats en faisant ses comptes Une coccinelle se pose sur un bras velu Les pitreries ne font pas toujours rire Les centres chimériques...
V i e s Ô les longues lisières du pays saint, les prairies du temps ! Qu'a-t-on fait du paysan qui m'enseigna la nature ? D'alors, de là-bas, je vois encore encore même les vieilles ! Je me souviens des vastes tapis de blé vers l'horizon, la main de la...
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