Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
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"La honte" Je trouve que ce titre irait bien avec le recueil car c'est un sentiment presque omniprésent dans le livre. Ce sentiment que le personnage principal du roman va essayer de vaincre toute sa vie. La honte : d'être ouvrier.
L 'un des thèmes les plus frappants du roman est sans doute celui des différences sociales. C ette honte que le père d'Annie Ernaux a d'appartenir à la classe ouvrière. U ne souffrance telle qu'elle ne peut que nous toucher. C 'est pourquoi ce sentiment...
Le personnage du père d' Annie Ernaux, sujet principal de son oeuvre, est sans doute l'un des personnages les plus intéressants du roman. C'est un homme aux manières brusques et au ton grognon. On imagine des mains impressionnantes, abîmées par la terre...
J'ai associé à la scène d'après la mort du père la musique le tunnel d'or d'Aaron car en l'écoutant j'ai toujours eu l'impression que quelque chose s'arrétait, qu'une lassitude s'installait, qu'une brèche se creusait. Et c'est ce qu'il se passe dans ce...
Pour le rôle de la narratrice je choisirais Julie Depardieu, pour la finesse de ses traits, pour son expression sérieuse et renfermée ainsi que pour ce côté enfantin que m'évoque la narratrice. *
Devant vous je pèse mes mots, Car ils ont parfois balancé, Sans maux et pas à mi-mots, Toute nue ma vérité. Ces mots si lourds, qui pourraient s'envoler : Si on leur écrivait leur liberté. *
La poésie du contraste Les élèves du lycée Cecioni ont participé à la semaine de la créativité en faisant partie d’ateliers sur la musique, sur la poésie et sur la peinture Le 11 Mars 2009 les élèves de la Prof Marino ont participé à l’atelier de poésie...
Le sublime a l'usage des enfants pauvres donne ceci : L'homme actif ne perd pas une minute, et, a la fin de la journee, il se trouve que chaque heure lui a apporte quelque chose. Le negligeant, au contraire, remet toujours la peine a un autre moment ;...
L o R e N z A c C i O Lorenzo de Médicis veut tuer Alessandro, son cousin, pour libérer la ville de Florence de la tyrannie. Mais il veut obtenir comme support et alliée les grandes vertus des citoyens. Florence est devenue corrompue, basée sur l’argent...
Le souci de l'avenir. Si j'avais pu changer le titre du livre La place je lui aurais donné celui-ci car, selon moi, il résume parfaitement cette autobiographie où les personnages principaux (notamment les parents d'Annie Ernaux) n'ont qu'une peur, celle...
J' aurais choisi Gerard Depardieu pour jouer le role du pere d' Annie, en effet il a les caracteristiques physiques et morales pour le jouer il est en effet un peu rustre mais a un grand coeur comme avec son petit fils, Depardieu a souvent ce role au...
Jeudi 12 Mars les élèves du lycée Cecioni ont organisé une parade pour l'arrivée des correspondants français du lycée Paul Bert de Paris et du lycée Iroise de Brest. L'organisation a été faite par les élèves de Madame Marina Marino, professeure de français....
A travers les champs inondés La musique creuse le c iel E t répartit par ses rayons La lumière, douceur T oscane. L es cloches sonnent tout le jour, Même à l'approche de la n uit O ù les ondes se confondent Avec le bleu de l' i nfini. L e vent nous susurre...
Mercredi 11 et Jeudi 12 Mars on a fait un travail sur la musique avec le Professeur Dini Du Conservatorio Mascagni et le Professeur Jacques Buvat. Nous nous sommes divisés en deux groupes (l'un avec le Prof. Dini et l'autre avec Jacques). Le premier groupe...
L es Mains sales Jean-Paul Sartre Rédigée au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, les Mains sales est la pièce de Sartre qui a remporté le plus de succès . Il y oppose deux sortes de conceptions révolutionnaires: celle de Hugo et celle de Hoederer...
J'accuse Émile ZOLA Ces pages ont paru dans L'Aurore, le 13 janvier 1898. Ce qu'on ignore, c'est qu'elles furent d'abord imprimées en une brochure, comme les deux lettres précédentes. Au moment de mettre cette brochure en vente, la pensée me vint de donner...