Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
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Des étoiles brillent au-dessus d'une cabane abandonnée Des pétales de rose pourrissent dans un grenier Des tortues géantes échouent sur les rives d'un lac salé Des scarabées tombent sur le dos et ne peuvent plus se relever PAN PAN Il est 08h02 Source...
Douter peut paraitre dérisoire La question du centre se pose Penser peut paraitre dérisoire La question du centre se pose C hoisir de ne pas voir la vérité est possible La question du centre se pose
Le jour le message honoré sur le sol suffit-il de rêver ni le vieux ni la cause dire nous aimons l'ourson un bloc pour danser la poitrine qui fredonne en amont affleure de sang acidité goût acre avec le temps ça devient doux ...
La grande vie dans les palaces soyeux les lits hautes les glaces dans la dure beauté des jours éblouissants des édredons cendrés on joue comme les vents
Des souvenirs frottés à des mots éparpillés sur un sol tapissé de larmes, ces douceurs chuchotées dans un vertige aquatique qui s'envolent vers la porte du paradis.
Noir. J'oublie tout. Avec ma main je l'ai étalé sur ma figure, c'était chaud. J'ai le sang qui glue de mes oreilles dans mon cou. Il fait poussière froide dans moi.
Le monde est bleu. . Je t'écris, une certaine pureté du coeur. . La nuit respire la nuit. . Sans savoir à quel avenir est promis notre histoire. Je t'écris, ici un vacarme, ivre de coeur, ivre de cette blessure au coeur
il pleut sur la gare je marchais sur la neige en silence les soleils bancals sont tellement pâles pleurant d'horreur je marchais parmi les corps inhabités vers empruntés aux poèmes La tête bandée et Il pleut sur la gare
Comme à la radio, dans les cafés, dans les bars, je suis malheureuse. Mon père es-tu là ? et moi je bois ; que c'est bon. J'écoutais Melody Nelson, errant entre les murs de feu, sans bruit. Folie Furieuse : je t'aime imbécile.
R egarde moi, mais seul Toutes ces nuits, jusqu'à toi, je gagne l'amour ... ta respiration qui chuchote En heritage, une certaine pureté du coeur ... le désir Quelques heures pour t'aimer ... lentement, le paysage avance, la silhouette droite & nue J'ai...