Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
Droits d'utilisation : Licence CC-by-nc-sa
Tim Burton - Edward aux mains d'argent Effraction, immersion, contraction, dilatation, substitution : tout au long de l'année, les lycéens d'i-voix ont aimé couper-coller-insérer-remplacer... dans des oeuvres variées. A la manière des cut-up de William...
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Pour tous ces chagrins qui faisaient les yeux rouges, "il en a gros sur le coeur". Sur les cendres un sourire se perd un peu. Ils espèrent, ils voudraient. Vivre et mourir, je ne sais pas comment, et vivre avec, vivre sans. Parfois ce sont des cercueils...
En tirant plusieurs mots issus de poèmes différents du recueil Sms de la cloison de Philippe Rahmy, j'ai écrit un nouveau poème. pour que la la douleur passe la phrase courte du matin abrège la convalescence qui protège du jour
La huche à pain, Hervé Éléouet Petit jour ensommeillé Les parfums, en rond Montent au plafond Au matin le café bu S'il fait silence Je m'engouffre dans la rue Sait-on qui l'on est Dans l'aube qui naît ? La huche à pain, Hervé Éléouet ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~...
je me souviens l'absence de toute force continuer encore face à la mort la douleur passe mais combien de temps pour oublier les coups vivre c'est apprendre l’espérance n’ accorde que la joie de l’ instant
I l ne reste rien Il se pourrait bien que le temps vienne à changer Et il ne reste désormais rien, Rien à dire et rien à écrire. Ainsi, L'ombre et la lumière pourraient-elle disparaître, et l'air de plus exister. Seule Demeurait peut-être à entrevoir...
Je suis dans le coeur de la flamme C'était une danse magique, qui hurle Métal contre métal, une ronde de la fierté C'est comme dans nos larmes Le bûcher recule, le ventre qui prend fin J'entends mal l'odeur qui montait haut Oublier chaque jour. Fire
Les saisons se succèdent, les défunts appellent au cimetière et les mains tremblent, laissant les enfants muets. La dernière larme tombée au rythme commun. Durant l'hiver, le dernière est tombée malade. Chaque corps finira brûlé.
♦ Toute essence établit une ligne coupante. Heurtant par le travers éphémère. A joie. Hors de soi, et sans soi. Inondé de ces liens qui accourent en tout sens. ♦
notre vie ne vit pas où notre mort arrive je fus pris d'une cri comme j'étais venu nul ne le croit au monde vivants et morts quoi impossible "qu'il n'y a pas la mort" que le jour se fend Source
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