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Publié par Nina

Présentation du roman : 

Notre-Dame de Paris est un monument littéraire écrit par Victor Hugo en 1830, dans un contexte de révolution, et est publié le 16 mars 1831. Cette histoire se déroule en 1482, dans la capitale de la France. Une jeune bohémienne, nommée Esmeralda danse au pied de la cathédrale et fascine tous les hommes par sa beauté et ses mouvements. Le sonneur de cloches, Quasimodo, voue à la gitane un amour sincère, mais sans espoir. Sous la demande de son adopteur, Frollo, le bossu va enlever la belle. Cependant, l'égyptienne se prend de passion pour un jeune chevalier, Phoebus, qui la sauve des mains de Quasimodo. Jaloux, l'archidiacre Claude Frollo blesse Phoebus au moment où Esmeralda et lui avaient pour but de consommer leur amour. Il propose à Esmeralda se s'enfuir avec lui, si elle accepte de lui vouer son coeur. Celle-ci refuse et se fait accusée à tort du meurtre du chevalier, l'amenant jusqu'au bûcher. Cette œuvre mêlant amour, jalousie et injustice et péripéties font le succès durable du roman. Il est connu dans le monde entier grâce à sa beauté, mais aussi à ses adaptations filmiques ou musicales.

Par les nombreux détails qu'Hugo écrit sur une période qu'il n'a pourtant pas connue, il est aujourd'hui impossible de visiter Notre Dame de Paris, sans chercher en vain le pauvre Quasimodo caché entre deux gargouilles.

 

 

Esquisse de Victor Hugo que j'ai réalisée

Esquisse de Victor Hugo que j'ai réalisée

Enluminures

 

Ci dessous, retrouvez les trois enluminures réalisées, qui auraient été dans le codex de Notre-Dame de Paris, s'il datait du XVème siècle...

Enluminure de Claude Frollo

Enluminure de Claude Frollo

(...) "Claude, contristé et découragé par ses affections humaines, s'était jeté dans les bras de la science. Il devint donc donc de plus en plus savant, et en même temps, par une conséquence naturelle, de plus en plus rigide comme prêtre, de plus en plus triste comme homme. Comme Claude Frollo avait parcouru sa jeunesse dans le cercle presque entier des connaissances humaines positives, extérieures et licites, force lui fut d'aller plus loin et de chercher d'autres aliments à l'activité insatiable de son intelligence. Il avait risqué peut-être son âme, et s'était assis dans la caverne à cette table mystérieuse des alchimistes, des astrologues, des hermétiques." (...) 

(Livres III chapitre III)

+ (...)"Je ne crois pas à l'astrologie" (...)

(Livre chapitre III)

 

Enluminure de Djali et Esmeralda

Enluminure de Djali et Esmeralda

(...) "Elle avait parcouru l'Espagne et la Catalogne jusqu'en Sicile. Ce qui était certain, c'est que la Esmeralda était venue en France très jeune  encore par la Hongrie. De tout ces pays, les jeune fille avait rapporté (...) des idées étrangères qui faisait de son langage quelque chose "d'aussi" bigarré" (...)

(Chapitre II Livre septième).

"C'était une charmante bête, douce, intelligente, spirituelle, une chèvre savante. Elle avait été dressée par la bohémienne, qui avait un talent si rare qu'il lui avait suffi deux mois pour enseigner à la chèvre à écrire avec les lettres mobiles le mot Phoebus" 

(Chapitre II Livre septième).

 

Enluminure de la cathédrale Notre Dame de Paris

Enluminure de la cathédrale Notre Dame de Paris

(...) "La rugueuse cathédrale était sa carapace" (...)

(Livre III chapitre III).

(...) "La haute cathédrale" (...)

(Livre septième  chapitre I).

+ Version originale de l'oeuvre Notre dame de Paris, description de la cathédrale :

"Il est, à coup sûr, peu de plus belles pages architecturales que cette façade où, successivement et à la fois, les trois portails creusés en ogive, le cordon brodé et dentelé des (...) niches royales, l'immense rosace (...) entre les deux fenêtre latérales (...), la haute de frêle galerie d'arcades (...), les deux noires et massives tours (...) ; produit prodigieux de la cotisation de toutes les forces d'une époque, où sur chaque pierre on voit saillir en cent façons la fantaisie de l'ouvrier disciplinée par le génie de l'artiste ; sorte de création humaine, en un mot, puissante et féconde comme la création divine dont elle semble avoir dérobé le double caractère : variété, éternité; (...)"

(1831, Livre III, chapitre I).

 

INTERVIEW

DE L'ENLUMINEUSE :

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