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Publié par jennifer, alessandra

          United 93


Le 11 septembre 2001, le vol 93 effectuait, avec un avion de type Boeing 757-200, la liaison entre l'aéroport international Newark Liberty (New Jersey) et San Francisco (Californie) aux États-Unis.

Il décolle à 8 h 42 avec 41 minutes de retard, à cause du trafic matinal assez élevé. Il s'agit d'un problème de routine fréquent pour un tel vol. L'avion cesse de répondre à la radio à 9 h 27, coupe son transpondeur et sort de sa route à 9 h 30. Certains passagers ont utilisé leurs téléphones portables pour prévenir que leur avion était détourné et ont été informés du détournement des avions lancés contre le World Trade Center. Devinant qu'ils risquaient le même sort, les passagers auraient décidé de s'attaquer aux pirates de l'air. Selon la commission d'enquête, les terroristes ont provoqué le crash pour empêcher la prise de contrôle par les passagers. L'avion s'écrase sur le territoire de la commune de Shanksville au sud de Pittsburgh, en Pennsylvanie, à une distance d'environ 170 km de la capitale vers laquelle il se dirigeait (11 minutes de vol à 850 km/h). Les interrogatoires de Khalid Cheikh Mohammed ont conduit les autorités américaines à affirmer que la cible était le Capitole.

L'avion transportait trente-sept passagers (les quatre terroristes compris), cinq personnels navigant commercial et deux pilotes.

 

Il n'y eut aucun survivant.



 Le film souligne comme peut être difficile la réalité de cet monde, dans le quel il y a beaucoup des différents, surtout culturelle et religieuses.

L’attaque  du 11 septembre montre un écart de la civilisation très difficile e profonde, qui  conduit a une crise de la société  mondiale moderne, avec des graves conséquences pour la vie de chacun de nous.   

La co-existence de 2 mondes parallèles (occidentale et oriental),  dissemblables et opposés les uns aux autres, conduira toujours à confrontations ouvertes, tant moral que.

Le racisme est une réalité constantement présent entre nous, que lentement scinde nôtres pais.

La peur du terrorisme est devenue une nouvelle réalité que nous accompagne jour par jour, restreindrent la notre liberté.

L’Amérique considéré la plus grande potence mondiale, celui qui a eu le rôle principal pendant le premières guerres mondiales, a montré sa insécurité faisant tomber aussi la sécurité des autres pays.

 

Les arabes avant de l’attaque du 11 septembre etaient consideré une sorte de fantasmes, et solament après l’attaque, se sont imposée dans le monde entier, donnant lieu a une nouvelle realité.

Avec ce film, se voulant l’une des premières fictions à "oser" se pencher sur des événements du 11 septembre 2001, United 93 suscite en quelque sorte l’effet d’un malaise indescriptible et nouveau. Pourtant, ce n’est pas la première fois qu’un film prétend nous plonger dans le réalisme d’une histoire vécue. Il y en eut bien d’autres qui furent racontées au cinéma, mettant en scène des figures ayant marqué l’histoire (le drame biographique à la Ghandi) mais aussi des personnages plus anonymes dont on s’inspira tout autant (par exemple l’aventure des survivants d’un crash aérien dans Alive). Certains ont pu penser, à juste titre, que ce malaise pouvait provenir de la proximité de temps entre les événements réels et la sortie du film. Cela peut, effectivement, faire partie de l’équation, car le plaisir éprouvé par nombre de spectateurs à l’idée de "revivre une histoire vécue" (joli paradoxe des mots) induisait jusque-là néanmoins une certaine distance de temps, de lieu et d’interprétation entre le réel et la fiction. Pourtant, c’est autre chose qui crée ici un trouble, quelque chose de l’ordre d’une certaine fascination mortifère qui englobe a priori et a posteriori tout le film et son "projet" ; non pas seulement parce qu’il s’évertue à évoquer la mort de dizaines de gens, mais également dans sa conception même, dans son geste idéologique amalgamant fiction et reconstitution, émotion et tension, réalisme et réalité. Depuis son film Bloody Sunday (autour des célèbres émeutes en Irlande qui eurent lieu un certain dimanche), c’est en spécialiste de ce nouveau genre de fiction vériste s’inspirant de faits et de personnages réels que le réalisateur Paul Greengrass a entrepris le filmage de United 93 (qu’il a également scénarisé, entièrement seul, tout comme Bloody Sunday). Démarche empreinte de semblants d’authenticité et qui fut fréquemment vantée, surtout par rapport à United 93, comme étant pudique. Ce qui est un comble, malgré les apparences, étant donné qu’on nous "montre tout" (geste plutôt de l’ordre du déshabillage) d’un événement dont on ne pouvait jusqu’ici qu’imaginer l’horreur et la frénésie, mais que Greengrass et ses producteurs s’échineront à raviver, à sortir de l’obscurité de la tragédie dans laquelle il était destiné à demeurer à tout jamais.

 

 

Jennifer Bensi ed Alessandra Pace

4a b ln

 


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