Une scène réussie, un passage marquant - L'éveil du printemps.
Moritz, qui craint d'échouer à l'école, raconte à Melchior l'histoire de la « Reine sans tête ». Restés seuls, les deux jeunes gens évoquent la sexualité : Moritz a enfin lu les pages où Melchior lui dévoile tout ce qu'il sait sur la reproduction. Moritz décide donc de prendre congé de la vie après avoir brûlé la lettre de Mme Gabor. Ainsi, le spectateur n'a pas la moindre idée que Moritz va mettre fin à ses jours avec un pistolet. Sa mort apparaît telle une tragédie. Il s'agit d'une partie très importante dans la pièce, et très marquante que ce soit dans l'histoire ou chez le spectateur.