Centon - G.Vissac
p23 et p24:
Il me frôle de trop près en bordure de quai bondé, son manteau lâche m'emporte le coude, le sien accroche ma liseuse. Il tombe et plonge, on me prévient bien tard. Le train arrive, étincelles sous les roues côté droit, l'écran plié en deux explose et la poudre de fer se répand bizarre par vagues syncopées. Mais c'est le domaine du rêve, uniquement, le cauchemar plutôt, ça n'arrivera pas, promis.