Mon poème préféré du recueil est... Donne-moi ton sourire, que ma vie s'y forme, que ma peur s'y fige. ... car d'une part il est très gai, et d'autre part il rappelle à quel point juste un sourire peut égayer une personne, lui faire oublier ses soucis,...
Et les éclairs gonflés de sucre, mélancolie du dimanche.
Née en 1979 à Lausanne, Julie Delaloye publie Dans un ciel de Février, son premier livre après avoir été diplômée de médecine. Elle prépare un doctorat de sciences bio-médicales.
N'avez-vous pas trop froid derrière votre plume ?
On voudrait tracer la lumière unique de ce ciel, elle revient l'été sous la voûte du fleuve, est-ce le matin, le soir ? Ou toute autre lumière.
C'était dimanche, encore, aurais-je dormi tout le jour ? que ma peur s'y fige.
Cette voix, ecoute, ce souffle, à peine, de ton être, la sérénité était notre language, quand le silence, sur nos lèvres entrouvertes, tu croiras renaître.
J'ai tes lèvres sur les paupières Ta main dans la mienne ! T'aurais-je enlacé sans m'arrêter ? Bien sur. Chacun, dans l'autre, Regoutera le plaisir de cette nuit.
Ou tes brace lets dorés qui te décoraient, Tremblants, sur tes poignets gelés.
Comme le jour est proche sur le lit éternel, Sérénité , dans l'aube de pri nt em ps . Reviens, toi la faille de la nuit...
A chaque instant, vouloir renaître d'une image.
Elle est là, elle est seule, plus douce que l'aurore. Ce matin, la montagne s'avance dans mon jardin.
Comme le jour est proche sur le lit éternel, La mort a roulé, comme une framboise sous la langue
"A chaque instant, Vouloir renaître d'une image . "
j'ai trouvé un Oxymore p 45 "l umière mouillée "
M éla n col i e du d imanche.. . E lle e s t là , elle est seule .
Aujourd'hui... Dans un jardin de février, Ensemble, serrés les uns aux autres , ils s'avancent vers l'oubli , avec ces quelque roses dans les mains, comme pour dire Adieu .
" Dans les cerisiers en fleurs, j'ai senti vieillir l'oeil ébloui du passé "
Jour noir, où s'arrête la pensée, l'été s'en va pour faire place à l'oubli d'une époque passée, et je m'en vais errer là où le jour et la nuit se confondent
A la sortie de l'hiver, immobile et légere, elle est là elle est seule, en robe brodée de soie claire. Mais le temps changean t à l'aube du monde entre ses lèvres, r evient le chant des torrents glacés.
Matin Nostalgie Gris silence nuage
L'orage en été Et toi prenant sa main... La rose ? comme une fougère sur l'épaule, il sourira de voir ce visage, entre deux gouttes de larmes. L'orage longtemps s'étirant entre les fenêtres. Qu'importe, s'il reste cette lumière ! Woua , magnifique ......
Quand le silence, disperse dans l'espace qui s'ouvre, le voile sur ses yeux encore fermés, la joie est alors si proche. c'est une personnification car le silence disperse le voile. Je ne crois pas que le silence ait des bras... Dommage ça serait plutôt...
Entente saison seule couleur odeur
Tu croiras renaître
Dans le recueil, on trouve le champ lexical de la nature. sous les branchages les torrents glacés la forêt au pied de la montagne les cerisiers en fleur
L e poème qui m'a le plus marqué, dans ce recueil est sans aucun doute celui-ci. Bien qu'il soit très simple il m'a beaucoup touchée. Donne-moi ton sourire, que ma vie s'y forme, que ma peur s'y fige.
Il neige encore sur mes joues, alors que mes yeux ont gelé à trop regarder le gris du ciel. Un matin embrumé par le brouillard de mes yeux. Pourvu le printemps ! Qu'il fleurisse mes mains, jusqu'au petit doigt jusqu'alors froid.
De qui parle la plupart de vos poèmes lorsque vous utilisez <> ou <>? ( Je me souviens d'elle ... Toi encore, sous l'arbre de Judée... C'est ton épaule qui repousse l'hiver... Elle fait un pas dans le vent de décembre... Tu croiras renaître......
Transformation oulipo ! Arme : le dico => calcul ? le mot + 4 Comme le jour est proche, sur le lit éternel, la neige brillante sous tes pas. Et les éclairs gonflés de sucre, mélancolie du dimanche. Commémoration le journaliste est proclamé, sur le litchi...