Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
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♦◊♦◊♦ L'été affleure. A la sortie de l'hiver, Entre ses lèvres vermeilles, Elle regardait je ne sais quoi. Toi, encore. L'instant nu, Sous ce ciel d'été. ♦◊♦◊♦
Matin gris, l'enfance s'arrêtant par instants, pour l'énigme d'un ciel, sous des pins exsangues. -------------------------------------------------------
♦ Ecoute, c'est la lumière d'automne qui s'avance et imbibe tes paupières, buée d'herbe et de brume, regard violet dans mes veines, l'image m'effleure... à présent ! ♦
une voix qui brille , sous de grands yeux verts du myrte et de tes yeux clairs la prunelle noyée sous une pluie d'été et tes yeux embrumés Derrière la fenêtre, s'efface l'absence, rose, de ces yeux sans cesse présents.
Dans un ciel de février est parcouru par le champ lexical de la nature, une nature belle, sucrée, idyllique et colorée. bouquets herbe violette automne lierre pluie bleues cerisiers vent roses ciel camélia brindilles
(C'est ici qu'est né le jour, rien ne parle de ruine, rien ne parle d'absence, juste de la lumière, flamboyante, une voix qui brille, sous de grands yeux verts, un mouvement presque invisible, sous un seul sourire. Ce n'est rien, pas même une douleur...
Elle est là, elle est perdue, jaillit l'ombre de la lumière. Tu croiras reconnaître le matin gris, aujourd'hui dans mon jardin je récolte, la confiture est étalée sur ma langue. Le jour s'étire, elle arrive, la fraîcheur de ton sourire, le battement de...
- Si ce recueil était une nationalité ce serait : Espagnole avec un mélange de Suédois. - Si ce recueil était les mensurations d'une femme ce serait : Très bon. - Si ce recueil était une sensation ce serait : De la menthe sur la langue. - Si ce recueil...
J'ai la nuit sur les yeux, le goût dans la langue ! Aurais - je dormi toute la vie ? En vain. Chacun, en touchant, fera la chaleur de cette nuit. J'ai ton odeur, Subtile cendre, Sur la bouche. Donne - moi ton coeur, que ma vie s'y balance, que ma libido...
~ Dans un ciel de février où tout semble été, neige sur les cimes, soleil dans le vent lumière qui se creuse, froid qui s'engouffre, je crie un adieu et j'hurle ton retour. ~
C e matin, j'ai respiré le chant des sapins sillonnant le bourgeon immense d'une voix cachée Reviens, aube de printemps, Reviens, toi la faille de neige Reviens, nuit qui s'éternise . . .
35. Nuit d'été Une heure ! Avant l'aube, dans ce terrain abandonné aux sapins, quand le soleil s'est enfui pour faire place à la lune, autour d'un feu de bois, de musique et de rires, voilà qu'ose franchir l'étape de la vie. Une heure ! Au fond de la...
Toi encore, E t toi prenant sa main, Quand le silence, se dissipe ! Cinq heures ! vouloir renaître d'une image Entre ses lèvres, et tes yeux embrumés. Je crie un adieu.