Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
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Inspiré par un extrait du poème page 72 de Unique Demeure (en italique) [...] parfois il faut un peu dormir. Oublier l'effort du « survivant ». Oublier que la lumière s'écrase nécessairement sur la vitre froide. Oublier un peu ses gardes et l'alerte,...
"l'angoisse de soi, du non-soi, ou du soi volé" Pourtant j'ai entendu que la seule chose dont je puisse être certaine est mon existence... Suis-je ? Vais-je être ? Devenir ? Demeurer ? Ou est-ce toi, pas assez sûr, qui espère ? image
J'ai décidé de lire plusieurs poèmes à la suite afin de faire un poème de taille plus longue que ceux d'Emmanuelle Le Cam. Ce sont les poèmes de la page 52 à 55, dans Unique Demeure. "Tout est en train de disparaître (...)"
Imitation fonctionnant en écho avec ces vers de la page 55 de Unique demeure : « Je bâtis mon silence. Vide guide mes pas. Visite mes rêves. En démolit l'architecture raffinée. » Je déconstruis mon mutisme. Vie guide mes pas. Louvoie entre mes côtes....
Hoje sou de regresso no espalhafato das paginas a alinhar. E eu ando através da luz de setembro. A Rade e Beleza, punhal nas minhas costelas que se leventam da memoria de você. (os seus membros : a perfreiçao, ansia dorolosa.)
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Galet des plaines qui souffle ma nuque et les boucles en courbe alphabétique. Vacillent les sirènes du chemin. Bavard. Secouer les branches et les racines cloisonnées dans ce feutre. Inhumaine est ma saison. Votre nuit est vaine. Si je souffle encore...
Comment vous parler de solitude ? Mon unique compagnon d'écriture cogne à ma porte et me laisse interrompue. Légèrement penché ce baiser m'appartient. Unique présence de corps sur corps et papier fou sur pièce de sang .
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Unique demeure, dans laquelle on trouve, un peu endormie, une poétesse qui songe. Un recueil dont des souvenirs anonymes remplissent les mots de poésie charmante et délicate, qui fuit un peu de ce monde trop réel peut-être. J'ai trouvé dans ce recueil...
Tout en train de disparaître. - Goûts, mémoire, attachements. La distance se creuse de moi au soleil. Plus aucune avidité ne passerelle mes mots.
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Voici la couverture que j'aurais attribuée au recueil Unique Demeure d'Emmanuelle Le Cam, le thème dominant étant la mort, et plus précisémment la douleur , le vide , l' absence .
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