Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Pages

Archives

Publié par Margaux

Dans le recueil de Lysiane Rakotoson, j'ai remarqué qu'il y plusieurs personnifications tout au long du recueil.

 

 

" Qu'elle est gracieuse, l'investiture du jour

L'épaisse tranche pâle des brumes

l'infime battement des veines de l'aube :

la légèreté fêtée par le nuage

et une nouaison de gouttes d'eau. "

 

Dans ce poème de la page 15, on observe une personnification de l'aube par "l'infime battement des veines de l'aube".

 

 

 

 

" Nos ventres pris dans les maillent de la vallée,

la chaude haleine de l'herbe,

conque d'hiver dans l'été... "

 

Dans ce passage du poème à la page 17, c'est une personnification de l'herbe par "la chaude haleine de l'herbe".

 

 

 

 

• " La peau de feutre de l'hiver tendue

le petit jour décolle

peu à peu

sa bouche

du sol "

 

Il y a deux personnifications, la première est de l'hiver avec "La peau de feutre de l'hiver tendue" et la deuxième personnification est celle du jour avec "le petit jour décolle peu peu à peu sa bouche du sol". Ce passage se trouve à la page 27 du recueil.

 

 

 

 

• "Dans les corbeilles d'argent, tremblantes sous les

souffles de décembre, j'entends l'hiver tinter à la

fenêtre"

Dans ce passage de la page 30, nous pouvons relever une personnification de l'hiver avec "j'entends l'hiver tinter à la fenêtre".

 

 

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article