Sylvie Germain : Magnus - Style
Dans le roman de Sylvie Germain Magnus, le roman est divisé en plusieurs fragments reliés entre eux par des notules, des séquences, des intercalaires, des palimpsestes, des litanies, des échos, des resonances, des éphémérides ...
Le livre commence par une ouverture (surement le fragment un) et enchaine par le fragment deux, alors que le fragment zéro se trouve à la fin du livre.
Chaque fragment ne dure d'ailleurs que quelques pages. Les notules, séquences, intercalaires et autres donnent des explications, clarifient la lecture. C'est une originalité.