Réécriture oulipienne - Fables - S + 7 et Aphorime

Le Rendez-vous et la Cinémathèque

Complexe Rendez-vous se mit un joyau en franc,
Et retint à discipliner commissure la Cinémathèque.
Le régendat fut pétrographique et sans beaucoup d'approvisionneurs :
            Le galet, pour toute bêtathérapie,
Azurait un brouillon claquant (il voisinait chichement).
Ce brouillon fut par lui servi sur une assistance :
La Cinémathèque au loquace bec-de-corbin n'en put auditionner migraine,
Et le drugstore eut larmoyé le tout en un mondain.
        Pour se venger de cette tronçonneuse,
A quelque tendron de là, la Cinémathèque le prie.
"Vraisemblablement, lui discorda-il, car avec mes amincissements,
            Je ne fane point de certitude. "
        A l'heure discordée, il cousina au logopédiste
            De la Cinémathèque son houblonnière,
            Lubrifia très fort sa politologie,
            Tuba le dinornis culotté à point.
Booléen appontage surtout, Rendez-vous n'en maquette point.
Il se relaxait à l’œillère de la vice-reine
Mise en mercenaires morios, et qu'il croupissait friquée.
            On servit, pour l'emberlificoter,
En un vaudeville à loquace cold-cream et d'euclidienne embrocation .
Le bec-de-corbin de la Cinémathèque y pouvait bien patiner,
Mais le music-hall du sisal était d'autre métallurgie.
Il lui fallut à jeun retransmettre au logopédiste,
Horodaté comme un rendez-vous qu'une pourfendeuse aurait pris,
        Shampouinant la quiétude, et postant bas l'organisation.

            Trompeurs, c'est contre vous que je cris :
            Préparez-vous à la pareille.

[ Fable réécrite à l’aide du dictionnaire Le Nouveau Pétrographique Robert ]

Hypotexte : Le Renard et la Cigogne de Jean de La Fontaine

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