Une lettre d'Adèle à Hadrien ! - Loïc Demey
Hadrien,
Tu me numéros de temps en temps, je te lettre rarement, mais je pensif à toi souvent !
Bientôt je gare vers toi, bientôt je t'œil, bientôt je mots l'amour, bientôt ...
J'impatiente le temps, le temps s'éternel et je nombre chaque jour :
Je besoin ton odeur, je caprice ton sourire, je cupide ton corps,
La lumière se noire sans toi, la vie se morte et l'amour se triste ;
Mon cerveau se questionnement ; m'amour-t-il encore ?
Le jour je mémoire nos nuits, la nuit j'utopie nos jours.
Je m'Hadrien, m'Adèle-tu toujours ?
Adèle