Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
Droits d'utilisation : Licence CC-by-nc-sa
Cette création polyphonique est inspirée du poème de Stéphane Bouquet Bon ok d'accord mais au bout du compte c'est quoi vivre ?, dans le recueil Le fait de vivre (p.103-107)
Vivre dans le réel ou s'arrêter dans l'irréél? Égalité. On continue ? un contact...
Mais le soir les Hommes n'ont d'amour que pour leurs Femmes Aie pitié Aie grâce en ce mortel Seigneur
L'Ermite https://fr.wikipedia.org/wiki/ErmiteErmite - WikipédiaL' ermite est une personne (dans la religion catholique, souvent un moine) qui a fait...
Les sirènes ont couronné des matelots nu(s)
Au tournant d'une rue je vis des matelotsQui dansaient le cou nu au son d'un accordéonJ'ai tout donné au soleilTout sauf mon ombre Les dragues les ballots les sirènes mi-mortesA l'horizon brumeu...
Le Monde Par Ahmad et Stéphane Bouquet Cette création polyphonique est inspirée de "Afrique Amérique" présent dans le recueil Nos Amériques de Stéphane Bouquet.
ô poète fuis devant les grands gypaètes
Aller à la navigation Aller à la recherche Oh ! les cimes des pins grincent en se heurtant Et l'on entend aussi se lamenter l'autan Et du fleuve prochain à grand'voix triomphales Les elfes rire ...
Découverte de la vie Voix mêlées de Lilou B. et Stéphane Bouquet Cette création polyphonique est inspirée du poème Preuves du monde de la page 37 à 42 du recueil Le fait de vivre du poète Stéphane Bouquet paru en 2021.
Lentement le pré vêtu de fleurs s’empoisonne
Les colchiquesGuillaume Apollinaire Fulguration" Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne " ContractionLentement le pré vêtu de fleurs s'empoisonne Inspiration Alors que les enfants s'en vont
C'est un document radiophonique exceptionnel, enregistré entre 1911 et 1914. Le son, certes lointain, donne à entendre la voix de Guillaume Apollinaire lui-m...
Traces visuelles d'une explication de texte linéaire en dispositif de classe mutuelle par...
Vivons à en mourir Voix mêlées de Maud et Stéphane Bouquet Cette création polyphonique est inspirée de la première page du poème Grec Grand Débutant du recueil de poèmes Le fait de vivre écrit par Stéphane Bouquet.
Vivons à en mourir Il vaut la peine...
J'ai effleuré ma rose Un brin de lumière m'enivrant Sous son air morose Elle s'éloigna fleurissant
Pour les autres utilisations de ce mot ou de ce titre, voir L'Adieu. J'ai cueilli ce brin de bruyère L'automne est morte souviens-t'en Nous ne nous verrons...
Les lycéen.ne.s i-voix remercient chaleureusement le poète Stéphane Bouquet pour la qualité des échanges ce jour au lycée de l'Iroise, pour la bienveillance du regard porté sur leur travail, pour toutes les voix mêlées et mains serrées.
"Tout poème est...
Il vaut la peine de fêter la moindre seconde qui nous réchauffera plus tard entre les mains si on sait faire (...) Du coup, je suspends ce poème le temps qu'en effet tu bipes à la porte ou m'attendes quelque part et qu'arrive ce qui était promis."
Les...
Simplicité des belles choses Voix mêlées de Maeva et Stéphane Bouquet Cette création polyphonique est inspirée de l'intégralité du poème de Stéphane Bouquet intitulé "Preuves du monde" extrait du recueil Le fait de vivre.
Aller à la navigation Aller à la recherche La porte de l'hôtel sourit terriblement Qu'est-ce que cela peut me faire ô ma maman D'être cet employé pour qui seul rien n'existe Pi-mus couples al...
Dimanche Voix mêlées de Samuel et Stéphane Bouquet Cette création polyphonique est inspirée d'un poème du recueil de Stéphane Bouquet. Elle est inspirée du poème Le dimanche de l'année du recueil Le fait de Vivre, le poème se trouvant de la page 56 à...
L'envie de brûler Voix mêlées de Capucine et Stéphane Bouquet Cette création polyphonique est inspirée de l'ouvrage Le fait de vivre écrit par Stéphane Bouquet. Plus précisément, de la page 37 du poème Preuves du monde .