Selfie de poème - Le cours des choses 28
Le cours des choses - 28 (p.97)
Je pense être un des poèmes les plus réussis de ce recueil car je suis court et simple de compréhension. Je suis peut-être un peu brutal mais cela ne fait que renforcer le fait que je sois unique et intéressant car j’ose dire les choses et utiliser des mots grossiers. Cela vous interpelle et me rend inoubliable dans votre mémoire et, de fait, signifie que je suis réussi.
Ce selfie appuie mes vers : on y voit du bois qui brûle et qui noircit.
Le bois fait référence à la tour car il est un matériau de construction et peut donc faire écho aux tours jumelles disparues. Il fait aussi référence à l’or qui a brûlé dans mes vers : le bois peut être très précieux et cher comme l’or. Dans mes vers, je dis que l’or est parti en fumée, or, comme on dit, il n’y a pas de fumée sans feu. Le fait que le bois noircisse rappelle le désespoir et la tristesse que l’on peut ressentir en me lisant. Je me sers de ce selfie pour vous faire comprendre le message contenu dans mes vers : notre planète brûle et meurt.
cet or est parti en fumée
Ce vers est sans doute l’un de mes meilleurs. En effet, il peut résumer à lui seul le message que je veux partager : le monde brûle. Dans ce vers, se cache une métaphore de la Terre à laquelle je fais référence avec l’or car notre planète est parfaite pour les humains et nous la détruisons alors qu’elle est la chose la plus précieuse à nos yeux pour le moment.