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Publié par Corentin R.

ACTE V, SCÈNE VII.

Lorenzo, le regard vide droit devant lui et un léger sourire sur les lèvres. De temps en temps, il pousse un soupir (de lassitude ou de soulagement..? peut-être les deux.. ?). Il parle assez doucement et lentement, avec un ton très monotone. Il se trouve assis et immobile, sauf quand il demande à Philippe de l'accompagner dans sa promenade : à chaque fois qu'il le fait, il se lève et regarde son ami, comme si une balade (qui le tuera sans doute..) pouvait le sortir de cet espèce d'état léthargique.

Philippe, l'air inquiet et se souciant grandement de Lorenzo, faisant des allers-retours entre la fenêtre à travers laquelle il observe les alentours après avoir écarté un rideau, et le poignet de son ami qui lui permet de mesurer son pouls (comme pour être sur qu'il n'est pas déjà mort).

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