Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
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et cette petite fille qui marchait accompagnée entre les champs verts et humides ou s'abritaient nombre de bestioles un regard émerveillé ne sachant plus où se poser elle continuait de tenir la main de la sagesse à qui l'âge avait déjà montré le spectacle...
Ce recueil m'a plu car j'ai ressenti une sorte de flottement tout au long du poème. Il était accompagné d'un fort sentiment d'incompréhension dû à ses phrases uniques, sans point. J'ai l'impression que le poème a un sens hermétique mais qu'il délivre...
Le palais période bleu Venise et la magie de la nuit - Emilie Rocher
une corneille noire sous la voûte bleutée sous mes yeux pas endormi, soleil bleu, plus que bleu d'hiver et la brume à minuit la nuit la vie et puis dans la chambre verte, les yeux bleus...
j'ai dormi, je me réveille, je ris, j'entends les oiseaux, je sens la tristesse, je pleure, j'ai appelé la joie de venir frapper à la porte, mais la peur a crevé mes yeux, et mon nez est plein d' étoiles de pollution, fleur Lila elle est jolie, elle est...
Et cette pâte garnie me souriant dans un carré comme cadre de Monet rond comme une pièce de monnaie coupée en triangle pour être ensuite ingérée jeu visuel qui réveille nos papilles en bouche si jolie qui nous transporte en Italie (Photo i-voix)
Je suis dans le tram, tout le monde bla bla, j'ai hâte d'arriver, de voir tes magnifiques yeux, tes mains, ton cou, ta bouche dès que je te vois je rougis plus de cerveau, plus des neurones plus rien dans ma tête quand je te vois je sors, perdue dans...
à l'aube tel le une fleur resplendissante elle éclot à la lumière du jour son esprit flamboyant nous éblouit tous lorsque côte à côte nous marchons vers la prairie et maintenant que la lumière est faite nous vivons
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toi là qui me lis, tu es dans les transports en commun ou chez toi dans ton fauteuil ou encore à la bibliothèque , en buvant un café, un soda, tu lis, tu apprécies, tu réfléchis tu poésie Source image
VALISE RETROUVEE LE 25/02/2017
Planète Vénus
Alerte ! Une valise a été retrouvée à l'aéroport de Guipavas. Puisque ne nous n'avons pas pu identifier la ou le propriétaire, nous avons dû l'ouvrir afin de déterminer à qui appartient cette fameuse valise....
Dans le poème page 53 du recueil, les quatre mots " se mêlent météo maux mots " me font penser au rappeur Nekfeu car il a pour habitude de jouer avec la phonétique dans ses paroles. Il fait des phrases avec pleins de mots qui à l'oreille se ressemble...
Et les bras tordus d'elleJusqu'aux îles SamediDimancheQui ne sont qu'emmêlements de fatigueEt de déceptionIl manque dans les bras abandonnésL'envie de.
tourne retourne elle dans la ritournelle l'apprenti encore apprenti et les bras tordus d'elle longe jusqu'aux îles la douce venelle samedi dimanche mai qui ne sont qu'emmêlements de fatigue de forcené et de déception drainée il manque dans l'immense bras...
En lisant ce passage j'ai trouvé cette partie assez drôle : j'ai imaginé non pas un oiseau, mais une personne arrivant dans son groupe d'amis, mais, quand elle arrive, tout le monde part pour aller voir d'autres personnes. C'est une situation que je trouve...
with tired eyes I think of linen or tow but they are gray and white pigeons on the prunded chestnut nine months later in the same year
Sources : Image 1
Scène de Ménage : Je déplie devant toi cette immense couverture bleue, je repasse même les plis de chaque recoin du moment qu' au milieu de journée ce que je fais soit fini , devant toi j'écarte la couverture et après je vais ranger un ou deux masques...
Les anarchistesIls ont un drapeau noirEn berne sur l'EspoirEt la mélancoliePour traîner dans la vieDes couteaux pour trancherLe pain de l'Amitié et ces mots-là d'encore de Léo Ferré à pouvoir encore les chanter source
Jacques Brel, Léo Ferré, George...
au téléphone portable, croyant connaître le monde et ce n'est rien juste quelques repères et d'autres pas, un homme dit, je me demande de quoi ils vivent eux autres et ma vie, ne t'inquiète pas je ne t'abandonne pas toi et nos enfants, tandis que se laissent...
croyant connaître le monde, aussi bien ils vivent eux autres ma vie je ne sais plus qui elle est, à déambuler je me demande, au-delà du pont je m'enfonce dans l'eau si perse côte à côte flottent la misère et le luxe je m’arrête source
sur les draps qui recouvrent ta poitrine et pas les cils bruns de ton regard sucré plus personne non plus ne vit du goémon, du varech, de la soude sur l'île de Béniguet prends le bonheur où il passe, paroles dans un jour gris si dans le noir je pleure...
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