Présentation - Les Mots de la Psychanalyse
Jeudi 21 avril à 19 H 30
au Quartz, le théâtre de Brest,
les Premières L du lycée
assistent à la représentation du specctacle
Les Mots de la Psychanalyse
avec Sophie Tellier, Raphaëlle Delaunay, Philippe Calvario et Jacques Blanc
d’après “Les 100 mots de la psychanalyse” de Jacques André
Dessin de Philippe
Legendre-Kvater
PRESENTATION PAR LE QUARTZ
"Tout ce que vous voulez savoir de la psychanalyse en vous distrayant… Ce petit “dictionnaire”, plein d’intelligence et d’humour, fait avec malice un tour dans l’univers lexical de la psychanalyse, cette médecine de l’âme, invention majeure du XXe siècle. Sophie Tellier, comédienne et chorégraphe, Philippe Calvario, comédien et metteur en scène et Raphaëlle Delaunay, chorégraphe et danseuse, en ont extrait une lecture-spectacle réalisée par Jacques Blanc où toutes les surprises sont permises…
Accablé par les ennuis qui n’en finissent pas de s’accumuler - qu’a-t-il fait pour mériter cela, c’est quand même “bien cher
payé” - l’homme qui va pour composer le code de l’immeuble où l’attend son psy se trompe de chiffres et tape ceux de sa carte bancaire !
D’“Acte manqué” à “Visage”, le livre de Jacques André Les 100 mots de la psychanalyse est moins un petit dictionnaire
(Que sais-je ?) qu’une façon d’évoquer à la fois la théorie et la pratique psychanalytique. Les notions-clés y
côtoient les figures de la souffrance psychique, mais aussi quelques notions plus générales sur lesquelles la psychanalyse apporte un éclairage original. Le refoulement, le complexe d’Œdipe, le
travail de deuil, la perversion, la séduction, le masochisme, la paranoïa, la dépression, le rêve, la castration, l’addiction… racontés à travers des histoires (vraies). "
Jacques André
Les 100 Mots de la psychanalyse
«Que sais-je ?», PUF, 126 pages
"Au départ, un projet modeste : les 100 Mots de la psychanalyse, 120 pages dans la collection «Que sais-je ?». A l’arrivée, un petit livre lumineux et presque violent tant il touche juste. En 100 entrées, le psychanalyste Jacques André réussit à nous dire des choses limpides sur les concepts et la pratique analytiques. Il le fait dans un langage non jargonesque (ce qui est une tendance depuis une petite dizaine d’années, voir la Fin du divan, de Raymond Cahn, 2002), léger, et juste donc, à la manière de certains psychanalystes quand ils disent juste ou écrivent juste.
Ce petit livre dit énormément, il nous parle, nous fait comprendre et nous donne à penser. Ce qu’il dit a à voir avec ce que sont les hommes et les femmes d’aujourd’hui dans la société d’aujourd’hui. C’est autre chose que des notes de bas de page à l’œuvre de Freud, c’est le contraire aussi bien du galimatias technique que de la simplification démagogique et du bavardage des manuels de développement personnel."
(Christian Colbeaux - Colblog)
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les impressions des spectateurs ...



