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Publié par Marco

 

À perte du temps, les matins effacés,

la chevelure étale n'a de cesse

qu'ici la nuit vouée à ce double épars

ne trouble aux gestes du lit funéraire,

augural le visage des étoiles.

Le son ne figure là sans le silence

qu'un corps absent d'une chair infinie.

Jamais plus aux lacunes de l'extase

n'émerge alluvial le non de la mort.

Or le chant dû à l'itérative aimée

pourtant ne s'altère au voilé des saisons,

mais aile la voix s'infirme d'un souffle,

air bleu d'oiseau là-bas aux heures pâlies.

 

(l'éternité la nostalgie la mort l'immensité nocturne merveilleux)

 

 


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M
<br /> J'aime beaucoup !<br />
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