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Publié par Fiona

 

(de la prose aux pseudos vers)

 





 

Il n’y a rien de pire que les choses qui nous tiennent à cœur


C’est comme si on nous amarrait


C’est comme si le corps était notre amarre


Mais qu’on ne pouvait plus se barrer



 

On ne peut plus que couler dedans « nous »


Pourtant on voudrait bien se barrer, nous


On voudrait bien foutre le camp, nous



 

Et rejoindre l’autre.

 

 

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P
eh bien dites donc, je ne savais pas qu'il y avait tout ça de dit sur la ville est un trou et autres textes ! c'est très étonnant ! car en fait on lit aussi le lecteur, ce qu'il ressent, tout ce qu'il peut trouver et en fait je me sens complètement en dehors, et c'est logique puisqu'il s'agit de quelque chose qui ne m'appartient pas (le livre). merci à vous en tout cas. CP
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