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Publié par Victoire

Alvéole 2 - page 31

Alvéole 2 - page 31

Ce passage suit un moment où l'auteure parle des changements du monde ouvrier et industriel. J'ai choisi cette citation car on peut aussi l'associer à la vie. Elle nous donne l'envie de profiter de chaque instant car chaque jour, chaque seconde, le monde bouge, change, parfois trop vite, sans nous. On ne sait pas ce qu'il va se passer le lendemain et c'est pour cela qu'on doit apprécier chaque petit plaisir que nous offre la vie qui est sans cesse en mouvement, et qui, à cet instant, nous accorde un moment paisible rien que pour nous. Elle nous rappelle que la vie n'est pas un long fleuve tranquille. La poétesse compare la vie avec la métaphore "une tresse de durée" qui nous renvoie au fait que la vie est remplie de moments qui s'entrecroisent, qui s’emmêlent. Elle peut basculer alors qu'on ne s'y attend pas ou qu'on ne le veuille pas mais c'est ainsi, nous n'avons pas le choix. C'est aussi une partie de hasard : lorsqu'on se lance dans une aventure, on peut avoir des imprévus et c'est ce qui rend celle-ci trépidante et passionnante. C'est changements se transforment en instants particuliers qui font le charme de nos souvenirs. Ils sont uniques et ne peuvent donc pas être remplacés comme le précise Florence Jou, ils font partie de l'histoire et entrainent alors d'autres bascules encore, et toutes ces dérivations forment la vie qu'on obtient, on ne peut pas tout contrôler et heureusement.

 

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