Election - Paul de Brancion
Mon poème préféré du recueil L'Ogre du Vaterland de Paul de Brancion est celui-ci car je le trouve si beau mais si tragique à la fois. De tous les poèmes du recueil, c'est celui qui m'a le plus marquée.
En effet, le poème se divise en deux parties, la première allant de "Grand-Père G..." jusqu'à "tranquille.", et la deuxième allant de "La future épouse..." jusqu'à la fin du poème.
Les deux premiers vers (soit la première partie) font ressentir la joie et le soulagement au lecteur, celui-ci éprouve de l'affection pour les personnages.
Pourtant, lorsque l'on poursuit la lecture, tout s'effondre, tout bascule. Le lecteur est dans l'incompréhension totale. Il ressent alors de la pitié pour Elle, cette femme mystérieusement décrite dans le recueil de Paul de Brancion. On ne retient qu'une chose du poème, tout s'arrange, mais pas pour tout le monde.
Cet extrait me fascine, il cherche à dénoncer une véritable injustice que subissent certaines personnes à leur insu. C'est celui que j'ai retenu de toute ma lecture.