Contraction - Maram al-Masri
Comme des bateaux ivres, tout fuit sur les trottoirs de la rue, même les arbres, lorsque la rage coule entre les hommes, le métal froid l'a tué, cercueils, cercueils, mon cœur tremble, noircit, durcit, je vis dans la mort, la mort-plume, enchaîné et nu comme le poème par un mot.