Observation - Maram al-Masri
Dans le recueil de Maram al-Masri, Elle va nue la liberté, à la page 111 on remarque une anaphore de "Je veux préparer un monde". La répétition de cette subordonnée permet à l'écrivaine d'insister sur sa volonté propre, sur la possibilité d'avoir un monde idéal. De plus, ce passage reflète l'espoir qu'elle a dans l'humanité opposé à sa réalité quotidienne.