Centon - Maram al-Masri
J'étais en train de marcher, fatiguée.
- " Couvre-le, couvre-le "
Je regarde derrière moi : mon coeur tremble, comme un nouveau - né. Je me vois en train de tirer, abandonné, une montagne de tristesse avec ma main droite, sorti, une montagne d'espoir avec ma main gauche, du ventre de la patrie, nu.
Sources :