Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
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Je veux un champ d'étoiles pour Nuits où je m'allonge rêveuse Je veux la soie des songes pour m'endormir A force de rêve Je veux un champ d'étoiles pour Nuits où je m'allonge rêveuse Je veux la soie des songes pour m'endormir A force de rêve Je veux un...
Aimer et puis perdre peu à peu nos repères Notre coeur se decèle s'enflamme vers la joie glacée de l'amour dans nos regards les lendemains dérivent peur sans nom éternelle le futur a la peau morte L'angoisse est-elle coupable ? La haine jamais ne capitule...
j e hais dieu de rester sans remords depuis le septième jour et quand je partirai devant lui j'irai dans son beau monde pour qu'il sente sur sa "terre" un peu de la pointe humaine et qu'elle soit pour toujours un clou dans son coeur le clou du malheur...
Il lui faut ce viol dans cette étreinte précisément pour survivre il promet un retour exaltant une jouissance incongrue avant de sortir en rapide le geste était de et il se retire en bon coup.
D'où viennent tes métamorphoses, sinon de la couleur du temps ? tu convoques les miroirs et changes de chemise aussi souvent qu'un nuage glisse sur ton front ( page 60 ) D'où viennent tes boutons, sinon de la couleur de l'adolescence ? tu convoque les...
"J e veux écrire ce chant qui pose si souvent ses mains sur mon visage que cela en est un délice." -------> ___________ J e veux décrire cet homme qui pose si souvent ses levres sur mon visage que cela en est un régal
Page 66, second poème Donne la durée de l' intime l' exacte appreciation des morts abandonnés insecte à l' espoir brisé papillon à l' aile perdue C' est dans le ridicule que termine le visage de l' homme question d' espoir - ou de réel.
Par notre envie Nous suscitons du mépris, des déceptions par nos rêves, des orages par nos mots le silence par notre plume, naissent des conflits, par notre souffle, et par notre amour essaie de sourdre l'amour.
Parfois je passais à travers la vie pour que dans ton corps mon d ésir et mon a mour fassent fusion comme dans le sommeil les m orts et mes mots s'entrechoquent. p.41
L'indifférence de ces visage s Demeure encore aujourd'hui comme les traces brunes d'un vieux miroir tacheté . Elle murmure à tout le monde qu'elle a ressemblé à Chopin, sans son consentement.
Dillatation un arbre grisonnant en forme de bourrasque violente fiché fluide dans le garrot serré d' une colline perdue depuis longtemps ne grandit plus survit de granit délité d' humus verdâtre austère et d' eau gelée entre les rocs abîmés s' épaissit...
ah le bel homme que c' était ainsi tombé dans le néant des choses inavouées néfaste beauté clouée du mensonge envenimé la rivière qui sait d'où elle vient ( où penché il buvait le miroir et le reflet de plausibles aurores ) tous ces regrets et toutes...
Haiku d'origine : Cette fois, je les ai rêveés les oies passant dans le ciel vide. Haiku transformé : Cette fois, je les ai aimés les jours passant dans ma vie vide. image
l'homme il efface des vies dans sa tête il feint il regarde ses amis qui pourrissent et tombent f Les années étreignent les visages diversement perdus des deux côtés du miroir Piix Julia.
Avec le poème « Comme l‘oiseau migrateur creuse » Comme l’ amour migrateur creuse Les lignes droites des cimetières , Comme la haine incline Les passerelles des ombres, Comme la mélancolie attise Le cœur des pierres, De leurs encres les poèmes Teintent...
D évoilez-moi le regret qui vous tourmente, je vous revelerai la douleur qui vous hante , Le regret n'est-il pas un intime remord qui brûle comme l'ârtre de la mer, qui lave comme le sel de l'amour et vous aide à inscrire l' entrave de votre vie Le regret...
Parfois l’amour N’est qu’un mot Malgré l’envergure de ses ailes Parfois l’âme Meurt au fond des yeux Prisonnière au fond de son mutisme Le vide à la fenêtre L’espoir dans le vide Qui chante la vie Qui passe par la fenêtre
Ce que nous nommons « identité » Est une partition de nos vies La mélodie des larmes mis à L’effusion des choses hors du commun: L’ouïe est monotonement bercée Le regard n’a pas besoin de voir Nous respirons dans l’insouciance, or Cela qui venait de nulle...
T u rentrerais par la fenetre T e poserais devant mon lit N ous n'aurions pas à nous parler M ais seulement si tu acceptes D e te montrer comme sous la pluie é bouriffée d'orages.
P arfo is, le coquelic o t agite un chiffon rouge. * Parfo is, la vo ute celeste agite des cotons blancs. Photo : Le royaume des cieux s'étendant au dessus d'un coquelicot par Claire.
Chopin a composé le Visage de cette femme D'un seul geste. Il l'a composé sans le vouloir, sans couleur ni modèle. En commençant par ce qui lui manquait. Chopin a composé le Visage de cette femme D'un seul geste. Il l'a composé sans y croire, sans envie...