Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
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ta voix tremble ta voix je ferme je te souffle ricochets sur l'épiderme ta voix à la recherche de l'écorchure première je te babil je te silences je te silence source image
rose alitée des souffles tièdes sur l'orage des peaux nuées de velours : fallecimiento je trace une ligne brûlante s'il te faut rêver cils fermés. source image
elle traque sous les voiles aurore boréale miettes d'avant chantonne les regards ongles sur le derme électricité arrachons elle drap noir chair impatiente just another game rose métal incertain, polysémique toi même, langues ainsi. source image
Je trouve que cette photographie peut être représentative du recueil Percolamour de Stéphane Korvin. En effet, le rouge des fleurs pourrait représenter l'amour et la passion que j'ai ressentis lors de ma lecture. Comme le dit Stéphane Korvin, Percolamour...
En gris, le texte original. En noir, la traduction Rubato that has to be stolen Rubato qui doit être volé Anatomie Anatomy atomise atomise Sourde deaf A tune Un air Four sets full play Quatre ensembles tout entiers Quelque chose ne se rend pas, revient...
Tout dans ce recueil me semble à la fois si simple, et si complexe. En un seul poème plusieurs en sont. Comme dans un simple livre, plusieurs en sont cachés.
Cendrillon, perdant toute notion de départ s'élance creusant un abri pour la peine. Ton visage tourne, je ne te vois plus. L'eau des poumons, endurance marine. Tout ce sentiment fuselé par la pluie assistant au lent désengorgement des corps, périlleuse...
Plus au sud que l'on ne peut grand beau temps qui se tord une respiration sur deux privés d'eau, on our own nous gagnons un supplément d'air, un mètre carré de terre accidentée Source Image
si on pouvait en parler sans se confondre en excuses sans trébucher dans les ombres les paysages qui m'assaillent, si je pouvais accrocher ton visage photographié ton visage reflète ton mal-être présent (autant de fois, malmené) vaque j'ai des raisons...
L'image ci-dessus est un photomontage réalisé par mes soins dans le but d'illustrer le poème suivant : une semaine sur deux quelques jours trois semaines un mois, devant (...) une minute quelques secondes cinq mots un temps un timbre un chien ton toi...
sur une mer restaurée les cheveux brossés la bouche pauvre en eau, pauvre parure plus rien à siroter finir avec quelques mots, ne pas craquer, quelques notes pour donner mesure aux arguments d'air ont eu gelures : on lance des pierres sur les maisons...
Par les chemins qui cognent les estampes copient les mots Les couleurs, au centre, sauvées par la pluie le ciel est foutu d'écarts Nous pesons si peu oiseaux cousus dans le vent sans autres murmures je te regarde souterraine creusant un abri pour la peine....
je ne sens plus que le fracas des mots qui sonnent dans mon crâne rien, pourtant elle-même s'en aille rimes décousues, manches effacées le ciel pleure calmement je m'enfonce et, nos affolements restreints peinent jusqu'aux ténèbres je pleure pleure-t-elle...
zu Ihren Füßen fängt an "Kommen Sie heraus aus" keine Manieren oder nach in einem verrückten Rennen, das ich Niederfrequenz- stammelt ersten Worte von Halt an den Anfangsbuchstaben wilden Ofen ich Rosa Sie
Le jeu est simple. Il suffit de compléter le poème avec les mots manquants. C'est un passage du poème de la page 7 du recueil Percolamour de Stéphane Korvin. Nous pesons si peu une rosace d' ..., une pelure d'... ... à tâtons rares et chétifs nous ......
Il est né en 1981. Il vit et travaille à Paris. Il fait un travail photographique et pictural autour des espaces projetés du corps, des figures de la mélancolie et des territoires vivants. Il a réalisé une série de photographies à Gao (Mali) autour du...
Traduction du poème de la page 31 In your feet begin "between and go out" without any fuss nor later in a mad drive I at low frequency falter the first words from stopping in the first letters four wild I you roses