Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
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A la page 16 de votre recueil on lit : l'espoir est votre aurore de tous les instants* ( pour le printemps des poètes ( 2004)) est ce pour cette raison que votre recueil s'apelle la belle lumière ? lien
sur la paupière d'un talus personnification les mains blanches des arbres si nous n'alimentons plus nos rêves parallélisme si nous n'habitons plus la poésie ? comme dans la bouche des adolescents comparaison on aime une ( f)ville, on la maudit antithèse...
Les oiseaux des gares Ne voyagent pas, Ils ne franchirons jamais Le verre fumé de leur ciel uniforme. Les voyages je les réalise De ma chaise, de ma chair Et défilent les paysages, Se succèdent les aventures De dessous mes paupières closes.
Si il fallait renommer ce recueil je l'appelerai : Insurmontable Jardin . J'ai choisi ce titre car je trouve qu'une fois que l'on s'imprègne de l'univers de ce recueil il est dur d'en sortir, c'est comme un insurmontable barrière poétique a franchir ......
I l existerait un pays, odorant comme une poudre de riz on aime une ville on la maudit on rêve de lointain et d'infini voici la saison des pluies et de la poésie.
L a mer s'incise de rides sans se flétrir, ronge ses forces sans s'affaiblir, développe ses muscles sans s'enlaidir, pose nue sans se dévêtir, est insomniaque sans perdre le regard. L a mer est seule comme un autodidacte.
D évoilez-moi l'espoir qui vous tourmente, Je vous revelerai la douleur qui vous ronge, l'espoir n'est-il pas un intime secret qui brûle comme l'âtre de la mer, qui lave comme le sel de l'amour et vous aide à inscrire l'étrave de votre vie ? L'espoir...
M on émoi égale la joie de la mère qui découvre le pétale d'un premier sourire dans le berceau de son enfant. J'ai ressentis ce sentiment lorsque j'ai tenu mon neveu dans mes bras pour la première fois.
Ce texte très mélancolique veut, je pense montrer comment la destruction et meme la mort ("naissent des deuils)" peut provoquer quelqu'un d'un simple geste ("des orages par nos mains") mais aussi créer ce qu' il y a de plus beau, l'amour ("continue de...
Par notre sang Nous suscitons des absents, des destructions par nos rêves, des orages par nos mains, le par notre plume naissent des deuils par notre souffle et par notre amour continue de sourdre l' amour. link
La mer s'incise de rides sans se flétrir, ronge ses forces sans s'affaibilir, développe ses muscles sans s'enlaidir, pose nue sans se dévêtir, est insomniaque sans perdre le regard. La mer est seule comme autodidacte.
L'enfant se sent capable de capter d'un bond au bon moment l'étoile de son choix, ou d'un tir abattre le feu qui le nargue. L'adulte manipule les cartes, s'égare dans les tables de chiffres. Il aimerait que ses équations gagnent de vitesse son rêve désormais...