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Voici le poème qu'une des mes amies à fait , je suis en admiration devant ce qu'elle a écrit Q uel est le vrai visage de la mort ? L a petite fille chantait la mort, Elle ne pouvait s'arrêter qu'au coucher du soleil. Pour que le temps libère son corps...

Dans le petit matin, le regard inconnu, on ne le croisera plus... Un cœur muet qui s’éloigne par notre souffle et par notre amour. Nous n’avons à franchir qu’un pas, et on se sent en complicité, on lui accorde sa confiance pour des instants futurs déjà...

page 45 : Je me dilue dans le bonheur d'hier, me multiplie dans l'ensorcellement des jours qui naîtront, des aubes qui se superposeront, des saisons sur les rives du fleuve lent immuable comme la sève. Toute minute m'est ivresse dans l'impatience de te...

L'aube le sais-tu, met une vie entière à se lever. Trop de petits soleils te promperaient, salves successives de l'imposture, contrefaçons hâtives de l'enchantement. Associé avec: J'ai embrassé l'aube d'été. Rien ne bougeait encore au front des palais....

Le blog i-voix vous invite à découvrir un festival qui partage notre désir d'échanger et de créer à travers les médias ... Du jeudi 4 décembre au dimanche 8 décembre 2008 se déroulera à Brest le festival Longueur d'Ondes, un événement original puisqu'il...

RIMBAUD : Le dormeur du Bal C'est un trou de cerveau où chante une rivière Arrachant follement les barbes des haillons D'argent : où le soleil, de la montagne fière, Luit c'est un petit mot qui mousse des maisons. Un vieux crépu, bouche ouverte, tête...

"Parfois , la fourmi du poète dépasse allègrement les dix-huit mètres" J' ai choisi cette phrase qui montre bien ce qu' est la poésie ,la grandeur et la sublimation, c' est le talent qu' ont les poètes de rendre quelque chose d 'insignifiant merveilleux...

Plus d'amour dans mon amour que dans les mains réunies d'un nid, moins solitaire dans ma solitude que dans l'habitat de la foule, plus marginal dans mes marges que dans les lisières des métropoles, moins nomade dans mes errances que dans les dislocations...

* MA BALEINE Elle s'en allait, les nageoires dans ses poches; Son paletot soudain devenait idéal ; Elle allait sous la mer, Muse; j'étais son féal ; Oh ! là là ! que d'océans splendides : fastoche ! Son unique culotte avait un large trou. Petit-Poucet...

Choisir un seul vers était trop difficile ... Nous sommes les génies du siècle. Notre présent est parlant. Notre présent parle. Nous sommes les génies du siècle où nous parlons tous. Nous sommes tous des génies. Nous sommes du siècle. La science est là,...

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