I-voyageur - I-poème - Le Ponte Vecchio
Il y a la douceur bleutée imprimée dans nos coeurs.
Il y a eu nous sur le dos courbé du Vieux Pont.
Il y a eu son corps agité empli de joailleries.
Il y a eu l'extrémité de nos doigts sur les plis de sa vie.
Il y a des voix du monde rond qui jamais ne cesseront.
Il y a eu ce feu caressant les courbes de l'Arno.
Il y a eu l'enchanteresse union des éléments.
Il y a eu l'éclat lumineux reflété dans nos yeux.
Il y aura toujours l'envoûtement des premiers instants.