Fait divers
Zoo mag
Douglas Templemore
un journaliste innocenté
dans l’affaire du meurtre de son tropi
Il y avait plus de trois jours que son procès avait commencés et l’attente devenait longue. Le tribunal avait finalement tranché ; ils ont affirmés que les tropis sont des hommes et que le journaliste Douglas Templemore est reconnu non coupable dans l’infanticide de son tropi qu’il considéré comme son enfant. Comment la justice à fait pour arriver à ces conclusions ?
Tout commence par l’arrestation au domicile de Douglas Templemore qui ce fît à sa demande par le plus grand étonnement de l’inspecteur Mimms et du docteur Figgins.
Le docteur Figgins avait été appelé très tôt dans la matinée pour se rendre chez Douglas. Il fût surpris par ce qu’il vit. En effet, un meurtre avait été commis !
Lorsque l’inspecteur Mimms arriva à son tour sur les lieux, il fût aussi surprit que le docteur Figgnis de ce qu’il vit. Un cadavre ! Mais quel cadavre ? Ni l’un ni l’autre ne savait exactement ce que représentait ce cadavre en question.
Douglas Templemore se sentait coupable d’infanticide envers son tropi qui se trouvait dans un berceau. Pour le médecin et l’inspecteur, le doute s’installait.
Il fallait déterminer le cadavre en question comme un homme ou un singe ? C’est pourquoi Douglas Templemore fût arrêté et mit en examen devant un tribunal.
Le procès fût mené par le juge Sir Arthur Draper en présence du procureur Minchett et de Jameson, l’avocat de l’accusé. Différents témoignages fût recueilli comme celui de l’anthropologue Guthbert Greame et de sa fille Sybile la fiancée de l’accusé. Tous deux racontèrent le récit d’une expédition faite avec Douglas. L’objet de leur d’étude était les mandibules. Plusieurs personnes les accompagnés comme le professeur Kreps, un géologue qui étudiait la psychologie primitive des Négritos et le père Dillighan, un bénédictin surnommé aussi Pop qui étudie l’histoire naturelle.
Puis d’autres témoins comme professeurs, médecin légiste furent amenés à comparaitre pour y donner une opinion personnel afin de répondre à cette question : l’homme a-t ’il une définition précise de ce qu’il représente ?
Chacun présenta sa version des faits mais aucun ne semblait être d’accord pour donner une définition propre à l’homme et au tropi. D’une part, il y a ceux qui croivent que l’homme descend effectivement du singe et d’autre part, il y a ceux qui n’y croivent. Pourtant, c’est grâce au Père Dillighan que la définition de l’homme apparaît comme une évidence ! Il explique que « L’animal fait « un » avec la nature tandis que l’homme fait « deux avec elle ! Il s’en est arraché, il s’est… dénaturé » Il démontre que l’homme est sorti de la nature pour la comprendre et pouvoir la maitriser à ses fins mais que l’animal y est resté.
En conclusion : à la première question à savoir si le tropi est-il un homme ? Le tribunal a répondu oui. Pourquoi ? Pendant le jugement il a été démontré que l’homme descend bien du singe. A la deuxième question à savoir si l’accusé est innocent ou coupable ? Le tribunal a déclaré non coupable. Pourquoi ? L’infanticide s’est produit avant la définition de ce qu’est un tropi. Le tropi était encore considéré comme un animal avant les débats de l’audience.