Poème de Magnus
May
Toi que j'ai aimée,
Tu es partie
A cause de cette foutue maladie.
J'aurais voulu te faire un baiser
Pour t'apaiser,
Mais tu as quitté mes bras
Pour ceux de Comala,
Tu m'as fait fuir
Pour que je ne te voie pas partir,
Il aurait pu nous rester
De longues années.
Je suis devenu orphelin
De notre amour divin.
J'aurais tellement voulu continué
A regarder ta splendide beauté,
J'aurais connu par coeur
Ta magnifique splendeur.