Electre - Florilège
"(...) - Trop tard, ses bras me tiennent.
- Tu sais rompre le fer, quand tu veux.
- Le fer oui, ce fer non."
"Elle se doute que nous sommes là, à nous créer nous-mêmes, à nous libérer d'elle. Elle se doute que ma caresse va t'entourer, te laver d'elle, te rendre orphelin d'elle... Ô mon frère, qui pourra jamais me donner le même bienfait ?"
"Moi, ç'a toujours été les silences qui me convainquent... (...) Mais je les conjure plutôt, je vous conjure, Dieu, comme preuve de votre affection, de votre choix, de vos cris, de faire un silence, une seconde de votre silence... C'est tellement probant."
"La Terre est ronde pour ceux qui s'aiment."
"-Comment cela s'appelle-t-il, quand le jour se lève, comme aujourd'hui, et que tout est gâché (...) ?
-Cela a un très beau nom (...). Cela s'appelle l'aurore."
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