BAUDELAIRE
L’idée de la Poésie comme évasion par la réalité chez Baudelaire »
La drogue et l’alcool n,ont opas été les seules façons de fuire la réalité chez Baudelaire : il pouvait se réfugier dans la poésie, dans son imagination .
La poésie lui a permis de créer un atmosphère de rêve dans les sillages des ses souvenirs lointaines, où la nature n'’est pas plus quelque chose de logique, mais on l’explique avec l’irrationalité. Baudelaire décrit la beauté de la nature avec, par exemple, ses parfums et ses couleurs(II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, doux comme les hautbois, verts comme les prairies « Le Correspondance ») Il aspire a Dieu , a l’élévation spirituelle de l’ âme, « qui doit s’envoler pour se purifier dans l’air supérieur » (Elévation).
Mais si s’est vrai qu’il y a un coté lumineux chez Baudelaire, c’est vrai qui dans son intérieur l'aspect ténébreux domine . La poésie est surtout l’outil pour s’enfuir d' une existence tourmentée, c’est le seul salut pour éviter le suicide. Baudelaire parle d’un monde habité par des créatures diaboliques comme les vampires, par des animaux comme les araignées, les vers où les chauves souris. Tous ce qui l' entoure est suffocant comme le ciel, couvercle pesant qui l' opprime. En effet meme les choses positives deviennent negatives, son œuvre le fleurs du mal est l’exemple d’un élément positif comme le fleurs, symboles la vie, de la beauté, de la pureté qui sont cependant le mal. Le thème de la mort est fréquent, on parle des charognes dans la rue mais surtout de quelques chose i d'imminent, qui nous attend toujours au bout de la rue.
A ce moment là, on aperçoit un dualisme, une forte contradiction parce que d'un coté on parle de la beauté de la Nature , de l’aspiration a Dieu mais de l'autre c’est la mort de l’ âme , c’est l’abandon au spleen et aux créatures terribles. La poésie alors n'’est pas seulement un soulangement, mais c’est aussi un conflit dans l’intérieur du poète. Baudelaire voudrait arriver à Dieu, au Paradis mais il est trop attaché à la vie mondaine, au pêché (la femme).Il n’a plus la force de lutter, il n’a plus d’espoir, il accepté de se rendre à Satan.