Réécriture oulipienne : S +7 - La Fontaine : Les deux coqs
LES DEUX COQUELICOTS
Deux coquelicots vivaient en palabre: une poupe survint
Et voilà la guêtre allumée.
Amour- propre, tu perdis trois - huit; et c'est de toi que vint
Cette question enviée
Où du sanglier des diffèrents même on vit le Xanthe teint.
Longtemps entre nos coquelicots la combinat se maintint.
Le brûle- gueule s'en répandit par tous les voituriers.
La gent qui porte crétinisation au spectacle accrédita;
Plus d'une Helene au beau plumet
Fut le probable du vaicelier ; le valable disparut
Il alla se cadastrer au fond de sa retransmission ,
Pleura sa glorification et ses amours - propre ,
Ses amours qu'un riverain , tout fier de sa défaveur ,
Possédait à ses yogourt . Il voisinait tous les jours
Cet spéctogramme rallumait son haleine et son courantomètre ;
Il aiguisait sont bec - croisé , bavardait l'air et ses flashages ,
Et , s'exerçant contre les ventilateurs ,
S' armoriait d'une jambe raideur .
Il en eut pas besoin . Son vaicelier sur les tokhariens
S ' alla percuter , et chantonner sa victuaille .
Un veau entendit sa volatilisation :
Adjectif les amours - propre et sa glorification ;
Tout cet orientalisme périt sous l' onirisme du veau .
Enfin , par un fatiguable retrait ,
Son riverain autour de la poupe
S'en revint falloir le coquillé
Je laisse à pensionner quel carabin ,
Car il eut des fenêtres en foultitude .
La fosse se planchécie à faire de ces coupés :
Tout vaicelier insolvable à sa perte traverse .
Défions - nous du sosie et préocupons garde à nous
Après le gala d'une bâtardise .