Entretien professionnel de Julien Sorel par Antoine
Entretien d'embauche Antoine by ivoixiroise on Genially
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Conseils
Tu es bien moins important que tes frères : « sa taille mince, peu propre aux travaux de force, et si différente de celle de ses aînés »(p49). Pour y remédier, tu peux montrer tes avantages intellectuels pour trouver des astuces permettant de gagner un salaire. De surcroît, tu peux pratiquer un entraînement sportif intensif qui te permettra d’égaliser voir même de dépasser tes frères musculairement (Livre 1 chapitre 7 page 49).
Tu t’emportes trop facilement. En effet, dans le chapitre 6 tu t’emportes pour un simple regard et tu le considères comme une « insulte »(p324). Heureusement qu’aucune carte qu’il t’a jeté dessus ne t’a touché car tu étais prêt à « faire usage de[tes] pistolets » (p324). Au lieu de laisser tomber, tu persistes : « je viens me battre avec vous »(p326). Tu te sens invincible jusqu’au moment où tu te prends une balle : « Le duel fut fini en un instant : Julien eut une balle dans le bras » (p328). Pour y remédier, il faut que tu calmes tes ardeurs.(Livre 2 chapitre 6 pages 324-328)
Tu agis trop sous l’émotion et tu ne prends pas assez de temps pour poser la situation et réfléchir. En effet, lorsque tu découvres la lettre de Mme de Rênal dans le chapitre 35 tu décides immédiatement de quitter Mathilde : « Adieu » (p539). Tu te précipites pour partir : « sauta à bas du fiacre », « parti pour Verrière » (p539) alors que tu es sous le choc. Ainsi, tu n’arrives même pas à écrite « sa main formait sur le papier que des traits illisibles » (p539). De surcroît, tu n’arrives pas à communiquer avec l’armurier : « beaucoup de peine à lui faire comprendre qu’il voulait une paire de pistolets » (p539). Enfin, tu es tellement traumatisé que tu ne réfléchis pas, ton corps lui même ne sait pas quoi faire : « trembler le bras » (p539). Tu attends de ne plus voir Mme de Rênal pour lui tirer dessus car intérieurement tu sais que tu prends la mauvaise dérision : « Mme de Rênal baissa la tête qui un instant se trouva presque intérieurement cachée par le plis de son châle. Julien ne la reconnaissait plus aussi bien » (p540). Mon conseil est simple : prends toujours le temps de réfléchir et d’analyser la situation. N’agis pas sur un coup de tête qui pourrait être fatal. (Livre 2 chapitre 35 pages 539-540)
Faiblesses
Julien est un flemmard lorsqu’il s’agit de faire des travaux qui ne l’intéressent pas. En effet dans le chapitre 4 Julien lit le Mémorial de Sainte-Hélène « au lieu de surveiller attentivement l’action de tout le mécanisme »( p28). Cela agace son père d’autant plus qu’il ne répond pas à ses appels lors de sa lecture. Pour punir Julien son paternel lui donne « un coup violent » dans son livre et « un second coup aussi violent » sur la tête. De plus, il le traite de « paresseux » (p28). (Livre 1 chapitre 4 page 28)
Julien laisse ses sentiments prendre le contrôle : « il put à grand-peine contenir sa peine pour tout ce qui l’environnait »(p49). Julien n’éprouve « que haine et horreur pour la haute société » (p48). En effet, Julien n’arrive pas toujours à contenir son dégoût « Julien fut sur le point de se trahir » (p48) .(Livre 1 chapitre6 page 48)
Julien est angoissé pour pas grand chose. En effet dans le chapitre 25 il n’est pas confiant, il marche « lentement » (p207) et « ses jambes semblaient se dérober sous lui » (p207). Il qualifie le séminaire d’ « enfer sur terre » et il ne pense pas qu’il pourra s’évader : « je ne pourrai sortir » (p207). Son attitude est aussi très craintive : « baissa les yeux », « tremblante », « son cœur battait violemment » (p207-208) … Il est contrôlé par « l’émotion et la terreur » (p208), Il manque d’assurance « d’un pas mal assuré » (p209) et finit même par effondrer : « il tomba tout de son long sur le plancher » (p209).(Livre 1 chapitre 25 pages 207-209)
Qualités
Julien est sociable : « Les enfants l’adoraient » (p49). En effet, Julien s’adapte rapidement lorsqu’il s’agit de découvrir une nouvelle famille. De plus, il est très patient : « impatientait jamais » et intéressant « chassé l’ennui de la maison ». Toute ces qualités lui permettent de sympathiser avec Mme de Rênal et ses enfants. (Livre 1 chapitre 7 page 49)
Julien n’abandonne pas avant de réussir ses « défis ». En effet à la fin du chapitre 8 notre héros « toucha la main de Mme de Rênal »(p70) mais celle-ci la retire aussi vite : « Cette main se retira bien vite »(p70). Julien prend cet acte comme une défaite : « un devoir à accomplir »(p70). Il décide donc de conquérir la main de Mme de Rênal : " il était de son devoir qu’on ne retirât pas cette main quand il la touchait". Dans le chapitre 9 Julien continue sa mission : « il étendit la main et pris celle de Mme de Rênal » (p72) jusqu’à la réussir. (Livre1 chapitres 8-9 pages 70-72)
Julien est quelqu’un qui inspire de la compassion. En effet dans le chapitre 41, beaucoup d’habitants sont terrorisés du sort de Julien : « la ville redoublait leur terreur » (p571). Le prélat demande « l’acquittement de Julien »(p571). Les gens sont très préoccupés par le procès de Julien : « foule immense » (p573). Ils ressentent de la peine pour Julien : « une pitié tendre » et Julien n’entendit aucun « propos désagréable »(p573). La foule était horrifiée qu’un si jeune homme puisse être condamné : « Mais c’est un enfant… Il est bien mieux que son portrait ». Julien parvient à émouvoir la foule avec son long discours : « toutes les femmes fondaient en larmes », « plusieurs hommes avaient les larmes aux yeux » (p577). (Livre 2 chapitre 41 pages 571-573)
Le Rouge et le Noir - Wikipédia
Le Rouge et le Noir , sous-titré Chronique du XIX e siècle , puis Chronique de 1830 , est un roman écrit par Stendhal, publié pour la première fois à Paris chez Levasseur le , bien que l' éd...