Cas de conscience de Julien Sorel par Arthur
Le passage enrichi se trouve dans le chapitre 42 du livre I, à la page 584-585
Passage précédent :
Pour la forme, il combattit la résolution du condamné. Julien, voulant le traiter avec estime, lui déduisit toutes ses raisons.
— Ma foi, on peut penser comme vous, finit par lui dire M. Félix Vaneau ; c’était le nom de l’avocat. Mais vous avez trois jours pleins pour appeler, et il est de mon devoir de revenir tous les jours. Si un volcan s’ouvrait sous la prison, d’ici à deux mois, vous seriez sauvé. Vous pouvez mourir de maladie, dit-il en regardant Julien.
Julien lui serra la main. — Je vous remercie, vous êtes un brave homme. À ceci je songerai.
Dois-je faire appel ?
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