Dans le smartphone de Julien Sorel - Galerie de photos
Nous vous dévoilons en exclusivité des images présentes dans la galerie du smartphone du célèbre Julien Sorel ! Tenez-vous prêts pour un voyage en immersion avec le jeune héros !
La première photo prise par Julien est une photo de Verrières, sa ville natale. On peut apercevoir les maisons blanches aux tuiles rouges. C’est dans ce petit village que Julien va développer sa passion pour les livres et Napoléon. Il va devenir précepteur des enfants de Monsieur de Rénal, maire de Verrières et va se confronter à des classes sociales beaucoup plus élevées, ce qui va attiser un sentiment de haine chez le jeune homme. (Livre premier, chapitre 1 à 5)
La deuxième photo prise par Julien est une photo de sa chambre lors de son séminaire à Besançon. Il avait été logé dans la cellule n°103 qui disposait d’une fenêtre, d’une chaise en bois et d’un lit. Néanmoins Julien était satisfait de sa chambrette car elle donnait sur les remparts et on apercevait par la fenêtre le Doubs, séparant la ville de la plaine. (Livre premier, chapitre 25, page 215)
La troisième photo a été prise à Paris. Elle montre l’hôtel de la Mole. En effet, Julien est devenu le secrétaire du marquis de la Mole et à du s’établir pour quelques temps dans cette maison. Il rencontre les personnes de la maison, dont Mathilde, la fille du marquis, dont il ne prête guère attention dans un premier temps. Julien se sent isolé dans ce milieu (il ne partage pas les mêmes idées etc.). (Livre second, chapitre 1 à 6)
La quatrième photo a été prise à Londres durant le voyage de deux mois de Julien Sorel en Angleterre. Julien n’a pas réellement aimé cette ville et ce pays, notamment à cause de son dégoût envers le sol anglais (Napoléon Bonaparte, dont il est un grand partisan, a été envoyé à Sainte-Hélène par des anglais). (Livre second, chapitre 7)
La cinquième photo a été prise à Strasbourg. Durant son séjour, il rencontre le prince Korasoff, qu’il avait déjà vu à Londres. Ce voyage permet à Julien Sorel de se distraire en pensant à des idées de gloire militaire et de dévouement à la patrie. Il se demande s’il est amoureux. C’est donc un voyage où il se recentre sur lui même afin de penser à des questions existentielles. (Livre second, chapitre 24)