Centon - Paul Laborde
Olympe,
tu marches sur le dos de tes inconséquences.
Te ne connais pas le poids de tes gestes,
tu affrontes en souriant ma poitrine déterminée.
Olympe,
tu es sur le point de partir :
jamais ton image n'a pu se fixer.
Olympe,
tu es sur le point de partir :
et jamais notre élan n'a su s'accorder.
Olympe,
avons-nous perdu quelque chose ?
Tu te raidis,
ta peur me renverse :
chaque coup que tu me portes dresse une muraille.