Élection - Maram al-Masri
Mon poème préféré du recueil Elle va nue la liberté se trouve à la page 68 :
La population est tellement habituée à cette guerre sans fin qu'elle ne prend même plus le temps de se cacher, et reste impassible devant cette violence.
La population est tellement habituée à cette guerre sans fin qu'elle ne prend même plus le temps de se cacher, et reste impassible devant cette violence. Les habitants sont tellement affamés qu'ils risquent leurs vies pour du pain, ils risquent leurs vies pour leurs enfants.