Centon - Gilles Baudry
Les jours disgracieux,
dans l'atelier des ombres féeriques,
dans la lumière des larmes,
je m'effiloche.
Le secret des mots nus que j'éclaire,
mystère,
se serre contre la nuit.
À ma fenêtre,
je susurre mon âme à la source,
et je tourne la clé de la colline inapaisée.