Réflexions autour du racisme
Après avoir réflechi sur les documents qu’on a analysés en classe, il semble évident que la problématique principale est celle de la peur.
Nous verrons, dans un premier temps comment, après nous analyserons les différentes façons d’exprimer la peur, pour conclure avec une solution possible, le rire
Qu’est-ce que la peur ?
La peur est une émotion d’anticipation. Elle informe l’organisme d’un danger potentiel, ce n’est pas ce qui se produit dans le présent qui represente un danger , mais ce qui pourrait se passer dans un avenir plus ou moins proche .
L’evaluation d’un danger est toujours subjective; la peur donc, come toutes les émotions est subjective . La peur est déclenchée par la perception d’un danger. Cette perception n’est pas forcement réaliste même si celui-ci est vécu comme inéluctable. L’imagination joue un rôle important dans la formation de la perception. L’operation mentale qui est la perception est constituée de quatre elements: -des faits , -des émotions , -d’une production de l’imaginaire et -d’un jugement.
La peur peut déboucher, par exemple, dans le racisme, contre les immigrées (“j’appelle mes frères” jonas Hassen Khemiri 2014) mais, pas seulement, aussi contre les noirs (“ le cercle fermé” jonathan coe 2006) ou contre les femmes (“la vaine attente” nadeem Aslam 2009) parce que elles sont considérées pas capables de prendre de bonnes decisions .
Mais, qui sont les racistes ? Ce sont des gens qui ont peur de l’inconnu , de ce qui est différent, des personnes qui n’aiment pas les autres en dehors de leur petit monde , ils sont partout mais , ils ne sont pas proclamés.
La peur est la peur de quelques chose qui n’est pas dans la normalité quotidienne, les religieux sont considérés comme des personnes anormaux (“underground” Harakuri Murakami 2013 ) en ce cas ,la peur débouche dans la peur pour les autres religions .
La peur détruit l’homme , et le rire a le pouvoir de distraire l’homme ,voilà pourquoi la peur peut être combattue avec le rire ( “le nom de la Rose” Umberto Eco 1982)
En conclusion, on peut dire que la peur est un sentiment commune par tous, mais nous devons aussi savoir choisir et comprendre si la peur est fondée ou pas, parce-que il y aura toujours quelque chose d'inconnu, et il sera possible que nous serons nous aussi des inconnus pour quelqu’un, l’important c' est de ne pas classer un homme a priori, sans l’avoir connu, et alors, peut-être un jour , il n’y aura plus de racisme et nous recommencerons avec un sourire, parce que “Nous ne saurons jamais tout le bien qu'un simple sourire peut être capable de faire.” (Mère Teresa .)