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Publié par Aurianne

Centon - Dominique Sampiero

Mourir donc attend un regard qui s'ouvre et un regard qui se ferme. L'un est le bourgeon de l'autre. Sans ses yeux pour la mort, il n'y a rien. Oui, ce sont alors des lettres brûlantes, violentes. Puis des lettres de souvenir. Et finalement on n'écrit plus. On lui parle enfin, vraiment, comme on n'a jamais osé.

 

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