Relevés - Jaques Ancet
J'ai apprécié de lire le recueil de monsieur Ancet. Il se lit facilement et assez vite et on sent une ambiance qui entoure ses poèmes. J'ai donc pu remarquer qu'il y avait des champs lexicaux présents dans les poèmes. J'ai choisi de vous montrer aujourd'hui qu'il y a un champ lexical de la parole dans le poème VINGT-QUATRE HEURES, L'ETE écrit en 1998.
J'ai donc trouvé plusieurs mots comme "aboient" "entendaient" "voix" "silence" "tairent" "muet" "mots" et "cris". Ainsi que des expressions comme "bourdonnement de bouches" "lèvres entrouvertent". Nous pouvons donc remarquer que la parole et les bruits sont une grande partie du poème.
Entre silence et bruit, les vers du poèmes se contruisent.
Les chiens aboient comme si on entendait l'envers brutal du silence.