Citation - René Char
Nous nous sommes soudain trop approchés de quelque chose dont on nous tenait à une distance mystérieusement favorable et mesurée. Depuis lors, c'est le rongement. Notre appuie-tête à disparu.
Il est insupportable de se sentir part solidaire et impuissante d'une beauté en train de mourir par la faute d'autrui.
[...] Ce qui me reste à vivre est dans cet assaut, dans ce frisson.
[René Char - La Parole en archipel ; Pour renouer]
Ne parviens pas à déterminer le pire : ne pas savoir ou savoir ?