Centon - Philippe Aigrain
leur collection usée devient grâce confuse
de la mémoire insue un poème de rencontre
visage de bronze venu des monts du fleuve
réparera la chair démunie du social
l'atmosphère pâlit dans l'instant crépuscule
imperceptiblement les jours pâlent rallongent
frôlant de ses traces le miroir des étangs