Florence vue par la marquise Cibo
"Elle ouvre sa fenêtre.
Que tu es belle, Florence, mais que tu es triste ! Il y a là plus d'une maison où Alexandre est entré la nuit, couvert de son manteau ; c'est un libertin, je le sais. -- Et pourquoi est-ce que tu te mêles à tout cela, toi, Florence ? Qui est-ce donc que j'aime ? Est-ce toi ou est-ce lui ?"
- Alfred de Musset, Lorenzaccio
Acte II, scène IV, p.102
A mon avis, cette vue est la vue qu'aurait pu avoir la Marquise Cibo lorqu'elle ouvre sa fenêtre. Magnifique et monotone. On peut imaginer également que c'est en regardant les habitations en face, qu'elle parle d'Alexandre et des maisons qu'il aurait visitées la nuit.